dimanche 23 mars 2014

Président Union Régionale CFTC Pays de la Loire

L'Union Départementale CFTC de Loire-Atlantique se réjouit de l' élection de son Secrétaire-Général , Jérôme Gauvain , à la Présidence de l'Union Régionale CFTC des Pays de la Loire. 

Veuillez trouver ci-joint , l'article qui lui a été consacré dans l'édition de Ouest-France du 22 mars  2014 : 

"Jérôme Gauvain succède à Jean-Michel Tessier, à la tête de l'Union régionale de la CFTC. Il a été désigné en présence de Pascale Coton, secrétaire générale confédérale.

La CFTC a tenu son congrès régional vendredi à La Flèche, en présence de Pascale Coton, secrétaire générale confédérale. Jérôme Gauvain succède à Jean-Michel Tessier, à la tête de l'Union régionale, pour un mandat de quatre ans.
Salarié au centre hospitalier de Nantes et âgé de 46 ans, Jérôme Gauvain est également secrétaire de l'union départementale de Loire-Atlantique.
Jean-Michel Tessier devient vice-président de l'union régionale. Patrick Giret, président de l'union de Vendée, conserve son poste de secrétaire.
La CFTC souhaite lancer une campagne d'adhésion pour attirer et fidéliser les jeunes, en « déshérence syndicale».
Le syndicat réunit aujourd'hui 6 500 adhérents actifs dans les Pays de la Loire, tous secteurs géographique et professionnel confondus, selon ses responsables. Il représente 8,5 % des salariés syndiqués dans la région, dans le secteur privé."

mardi 18 mars 2014

Communiqué de presse CFTC 44



Nantes le 18 mars 2014

L’abstention, un danger pour notre démocratie


L’Union Départementale CFTC de Loire-Atlantique , libre
et indépendante de toute emprise politique , comme
à son habitude , ne donnera aucune consigne de vote
pour les élections municipales qui se dérouleront les 23
et 30 mars prochains.
La CFTC est un syndicat et non une courroie de
transmission des partis politiques dans le monde du
travail.
Néanmoins, l’Union Départementale CFTC de Loire-
Atlantique appelle ses adhérents, militants et
sympathisants à se rendre aux urnes remplir leur devoir
de citoyens.
En effet, nous considérons que l’abstention est un
danger pour notre démocratie.

lundi 17 mars 2014

Communique de presse

LA CFTC, LIBRE ET INDÉPENDANTE
 En réaction aux communications diffusées par voie de presse par lesquelles la CGT et FO mettent explicitement en cause l'indépendance des syndicats signataires du pacte de responsabilité vis-à-vis du gouvernement, la CFTC syndicat de construction sociale privilégiant la négociation aux antagonismes systématiques, réaffirme haut et fort sa totale indépendance à l'égard des partis politiques.
Pour rappel, la CFTC revendique depuis sa création en 1919 nombre de réalisations concrètes au service des salariés et de leurs familles. Ces réalisations, elle les a toujours obtenues en totale indépendance à l'égard des divers partis politiques avec lesquels elle a eu à composer tout au long de son histoire.  La signature du relevé de conclusions des réunions paritaires du 28 février et du 5 mars sur le pacte de responsabilité n'a pas échappé à la règle !
Aussi, afin de dénoncer cette pratique de dénigrement,  la commission exécutive de la CFTC, réunie ce jour, a décidé de boycotter la réunion intersyndicale organisée demain dans les locaux de la CGT. Une réunion relative à la mise en œuvre des dispositions issues de l'accord national interprofessionnel sur la qualité de vie au travail.

dimanche 16 mars 2014

Quiconque se syndique, s'engage



«  Quiconque écrit, s’engage » a écrit Corneille. En le paraphrasant, je pense que dans la conjoncture actuelle,  quiconque se syndique, s’engage.
En France, il y aurait 1,7 million de syndiqués parmi les 22,5 millions de salariés français, soit un taux de syndicalisation d'environ 7% de la population active. La syndicalisation continue de reculer (même si c'est moins net qu'entre les années 1970 et 1990) dans pratiquement tous les secteurs d'activité, y compris dans ses bastions traditionnels. Dans le secteur de l'énergie, par exemple, seuls 20% des salariés adhèrent actuellement à un syndicat, contre plus de la moitié il y a trente ans. Globalement, les syndicats restent mieux implantés dans le secteur public, pour des raisons qui tiennent notamment à la répression antisyndicale constatée dans de nombreuses entreprises privées.

Prendre une carte syndicale à la CFTC, c’est, d’abord, faire un choix clair dans son engagement : c’est l’Humain d’abord. .Oui, nous pensons fermement que c’est l’Homme qui fait tourner la machine économique et non le contraire. Dans la conjoncture actuelle, ce discours peut paraître utopiste, mais, hélas, je constate sur le terrain que les salarié(e)s sont devenus des outils d’ajustement pour faire du chiffre , améliorer la productivité, et rendre les actionnaires heureux.
Prendre une carte syndicale à la CFTC, c’est, ensuite, être clair sur les principes suivants qui doivent mener nos actions : obéir aveuglement, c’est trahir, désobéir pour améliorer le bien commun de tous les salarié(e)s, c’est servir.
En effet, je remarque actuellement une tendance accrue au durcissement des relations entre les représentants du personnel et le patronat dans les entreprises. En effet, sous couvert de protéger l’emploi et de créer un dialogue social biaisé, le patronat  tente de mettre au pas les représentants des Institutions Représentatives du Personnel (CHSCT, Délégués du Personnel, Délégués Syndicaux), en appliquant au minimum stricto-sensu les textes de loi et changements dans les conventions collectives. Ainsi, les IRP sont ligotées et n’ont plus rien à dire voire à revendiquer. C’est une nouvelle façon d’acheter la paix sociale, en mettant petit à petit les représentants du personnel syndiqués sur la touche. En agissant ainsi et aveuglement, les IRP trahissent sans se rendre compte les salarié(e)s.
Je considère, donc, qu’il est du devoir des IRP parfois de désobéir, quand elles considèrent avec raison que la vie des salarié(e)s est en danger sur leurs lieux de travail et que les conditions de travail se dégradent. J’appelle cela servir les salarié(e)s. Nous devons être un rempart face au retour insidieux et sournois de conditions de travail inhumaines  d’un autre temps. Ainsi, je pense au taylorisme qui est entrain de revenir en force sur les centres d’appels téléphoniques et qui fait que l’Etre Humain devient une machine à améliorer les statistiques.


Prendre un mandat CFTC, enfin, cela engage à défendre le bien commun de tous et toutes, et ne pas servir ses propres intérêts personnels.

dimanche 9 mars 2014

Nicolas Doze: Les experts avec Olivier Berruyer - 05/03 2/2

Nicolas Doze: Les experts avec Olivier Berruyer - 05/03 1/2

La semaine qui vient de s'écouler a été chargée: pacte de responsabilité, crise en Ukraine et  ses impacts, et bien d'autres choses. Vous allez me dire que cela ne nous intéresse peu dans nos entreprises. Je vous dis que non. Pourquoi ? Tout ce qui se passe dans le monde va avoir des conséquences pour notre économie et sur le plan social. Tout est lié. Bonne écoute à vous tous et toutes. 

C' dans l'air - Inverser la courbe de l'emploi - 27 février 2014

Le chômage continue à faire des dégâts.  Il est clair qu'il est dans la tête de tous les salarié(e)s. Je vous invite , à vous poser,  pour écouter ou ré écouter C dans l'Air sur ce dossier . 












jeudi 6 mars 2014

Les Patrons flingueurs avec Eric Verhaeghe, Sebastien Alix et Bertrand Marc

J'ai participé ce jour une nouvelle fois à l'émission des Patrons Flingueurs sur RDE avec un grand plaisir. Le dialogue y est courtois , ouvert et sans langue de bois:Les Patrons flingueurs avec Eric Verhaeghe, Sebastien Alix et Bertrand Marc

samedi 1 mars 2014

Edito Pascale Coton

NAÎTRE FILLE…

28 février 2014
L'édito de Pascale Coton pour 

La Lettre confédérale CFTC 1464
J’aimerais mettre à profit la Journée internationale des femmes qui se déroulera comme chaque année le 8 mars, pour rappeler plusieurs injustices faites aux femmes dans le monde du travail.
D’abord, dire que le fait de naître fille aujourd’hui en France n’est pas gage d’égalité ; loin de là ! Les femmes, salariées ou non, sont encore trop souvent bridées dans leur choix de vie professionnelle : douze grandes familles de métiers sont ouvertes aux femmes contre 85 pour les hommes.
Ensuite, relever que le temps partiel subi touche surtout les femmes, et qu’à travail égal, les salaires des femmes sont largement inférieurs à ceux des hommes. Les conséquences sur leur pouvoir d’achat ne sont pas seulement immédiates : au moment de la retraite, on constate que les pensions des femmes sont de quarante pour cent inférieures à celles des hommes ; il en résulte qu’une retraitée sur trois vit en dessous du seuil de pauvreté.
Enfin, souligner que des forêts entières ont été détruites pour fabriquer le papier nécessaire à la rédaction de textes de loi destinés à l’émancipation des femmes. Que ce soit sur l’égalité professionnelle, sur les violences qui leur sont faites, sur la contraception, sur la garde des enfants, sur le non-paiement des pensions alimentaires, sur le congé parental… Il est plus qu’urgent de passer d’une égalité de papier à une égalité dans les faits.


Le fait de taire ces inégalités contribue à les maintenir voire à les approuver. L’histoire de France montre à quel point il est long le chemin vers une société davantage respectueuse des femmes. À la CFTC, nous avons toujours œuvré pour faire avancer leur cause et il nous reste tellement encore à faire.
Assurer l’égalité professionnelle, c’est lutter contre la précarité des femmes et leur permettre d’accéder à des formations et des diplômes afin qu’elles puissent prendre part à la vie économique, sociale, syndicale, associative de notre pays. Des textes existent qui permettent d’assurer leur autonomie aux femmes, faisons les appliquer !


Je suis fière de mener avec vous toutes et vous tous ce combat légitime au nom de la CFTC afin que naître fille en France demain soit synonyme de liberté et non d’entrave.
Pascale Coton

Secrétaire générale