Mon passage ce jour dans l'émission des Patrons Flingueurs dur la Radio des Entreprises:Le compte pénibilité et les investissements étrangers en France
« On ne transforme pas une société, elle se modifie lentement, graduellement. On ne traite pas les hommes comme on ferait d'une monnaie démodée qu'on met au creuset pour la frapper en masse à une effigie nouvelle. » Pierre Waldeck-Rousseau. Vision de l'actualité sociale et économique par le Président de l'UD CFTC de Loire-Atlantique.
jeudi 28 mai 2015
lundi 25 mai 2015
Pentecote : jour chome pour 70% des salaries | Hit West
L'Union départementale CFTC de Loire-Atlantique appelle à la grève en ce lundi de Pentecôte: Pentecote : jour chome pour 70% des salaries | Hit West
dimanche 24 mai 2015
mercredi 20 mai 2015
Appel à la grève pour le lundi de Pentecôte
LUNDI DE PENTECÔTE
20 mai 2015 - Pantin
Mot d'ordre de grève pour dire STOP au mensonge de la journée dite « de solidarité »
En cette veille de Pentecôte, la CFTC rappelle qu'il n'existe aucune journée « de solidarité » qui permettrait de récolter des fonds au profit de personnes dépendantes.
La réalité : il a été instauré une taxe sur les salaires de 0,3 % de la masse salariale dite « contribution solidarité autonomie » prélevée mensuellement.
Dans le même temps, un certain nombre de salariés se voit imposer de travailler gratuitement une journée dans l'année. Un prélèvement de 0,3 % sur une journée payée 0 euro rapporte très exactement 0 euro...
En outre, cette mesure autoritaire se traduit concrètement par des aberrations économiques et sociales. Pour n'en citer que trois :
- Quel sens y a-t-il à obliger des salariés qui sont régulièrement au chômage technique à travailler une journée en plus, comme dans le secteur automobile par exemple ?
- Est-il équitable qu'une caissière de supermarché doive offrir une journée de travail à son entreprise, alors qu'un cheminot est censé travailler 1 minute 52 de plus par jour pour s'acquitter de sa journée dite « de solidarité » ?
- Pour quelle étrange raison, les professions libérales ne sont-elles pas assujetties à une journée dite « de solidarité » ?
Pour la CFTC, si le principe, tout travail mérite salaire est incontournable, il n'est pas incompatible avec le nécessaire effort financier qui doit être fait au profit de la prise en charge de la dépendance, encore faut-il que cet effort soit justement réparti.
C'est pour ces différentes raisons que la CFTC couvre par un mot d'ordre de grève tout salarié du secteur privé que son employeur voudrait obliger à travailler gratuitement sous prétexte de solidarité. Ce mot d'ordre est valable pour le lundi de Pentecôte ou tout autre jour férié de l'année travaillé au titre de la journée de solidarité.
La réalité : il a été instauré une taxe sur les salaires de 0,3 % de la masse salariale dite « contribution solidarité autonomie » prélevée mensuellement.
Dans le même temps, un certain nombre de salariés se voit imposer de travailler gratuitement une journée dans l'année. Un prélèvement de 0,3 % sur une journée payée 0 euro rapporte très exactement 0 euro...
En outre, cette mesure autoritaire se traduit concrètement par des aberrations économiques et sociales. Pour n'en citer que trois :
- Quel sens y a-t-il à obliger des salariés qui sont régulièrement au chômage technique à travailler une journée en plus, comme dans le secteur automobile par exemple ?
- Est-il équitable qu'une caissière de supermarché doive offrir une journée de travail à son entreprise, alors qu'un cheminot est censé travailler 1 minute 52 de plus par jour pour s'acquitter de sa journée dite « de solidarité » ?
- Pour quelle étrange raison, les professions libérales ne sont-elles pas assujetties à une journée dite « de solidarité » ?
Pour la CFTC, si le principe, tout travail mérite salaire est incontournable, il n'est pas incompatible avec le nécessaire effort financier qui doit être fait au profit de la prise en charge de la dépendance, encore faut-il que cet effort soit justement réparti.
C'est pour ces différentes raisons que la CFTC couvre par un mot d'ordre de grève tout salarié du secteur privé que son employeur voudrait obliger à travailler gratuitement sous prétexte de solidarité. Ce mot d'ordre est valable pour le lundi de Pentecôte ou tout autre jour férié de l'année travaillé au titre de la journée de solidarité.
mardi 19 mai 2015
SNEC CFTC 44 sur Radio Fidélité
A l'aide du lien ci-dessous, vous pourrez entendre Denis Boche, le président du Snec44-CFTC, interrogé par un journaliste de radio fidélité.
http://radiofidelite.fr/fr/la-reforme-du-college-divise-aussi-dans-lenseignement-catholique/
Il s'exprime sur la réforme du collège et l'interview a été diffusé aujourd’hui.
si vous souhaitez réagir sur ce sujet n'hésitez pas à nous contacter.
Bonne écoute
http://radiofidelite.fr/fr/la-reforme-du-college-divise-aussi-dans-lenseignement-catholique/
Il s'exprime sur la réforme du collège et l'interview a été diffusé aujourd’hui.
si vous souhaitez réagir sur ce sujet n'hésitez pas à nous contacter.
Bonne écoute
dimanche 10 mai 2015
Edito de Mai 2015
Coups de gueule.
Le
1er Mai 2015 ne restera pas dans les annales du syndicalisme
français. Je dirais même plus: il marque
la fin de l’utopie d’un syndicalisme rassemblé et unitaire.
En
effet, il ne faut pas se voiler la face. Depuis 2008 et la loi scélérate sur la représentativité
des organisations syndicales dans notre pays, la CGT et la
CFDT , les Dupont et Dupond du syndicalisme, souhaitent
toujours réduire le nombre des organisations et
partager l’échiquier syndical en deux blocs : un pôle radical centré
sur la CGT et un
bloc réformiste sous la direction de la CFDT.
En résumé, faire disparaître notamment la CFTC.
Les
déclarations récentes de Bernard Thibault,
ancien patron de la CGT sur les ondes de Europe 1 sont assez
inquiétantes sur le dossier : « Oui,
il y a trop de syndicats en France. La
CGT , dans ses statuts, se prononce pour que les salariés
soient réunis dans le même syndicat ». Je pense qu’il fait référence à
l’URSS de jadis et au centralisme démocratique et non à la France de 2015.
En
tant que Président d’une organisation syndicale qui compte 140 000
adhérents dans ses rangs, je tiens à rappeler à cet ancien responsable syndical
ceci : c’est un discours qui a la
caractéristique de mépriser la liberté syndicale dans ce pays. C’est un discours
autoritaire qui verse nécessairement dans la violence et l’enchère verbales ainsi
que dans l’arbitraire.
C’est
aussi un discours qui autorise Pierre
Gattaz, patron du MEDEF, à tenir des propos sur la mise en place d’un SMIC
au rabais et transitoire pour lutter contre le chômage des jeunes et de masse. Pierre Gattaz propose que les
entreprises puissent embaucher, à 80% du Smic, des adultes qu'elles formeraient
pendant 18 à 24 mois. Leur rémunération serait alors complétée par d'autres
dispositifs (chômage, RSA) pour atteindre le niveau du salaire minimum. Une
telle mesure contribuerait à enrayer le chômage et à pallier la pénurie de main
d'oeuvre dans certains secteurs d'activité.
Je tiens à rappeler à Pierre Gattaz que nous
attendons toujours la création d’un million d’emplois en France promis par le
MEDEF et que j’aimerais bien qu’il essaie de vivre avec un salaire brut de
1445,38€ par mois. La CFTC
de Loire-Atlantique considère que Pierre Gattaz est dans une logique
esclavagiste et que tous les salarié(e) s doivent être payés correctement et dignement.
Ces déclarations toutes récentes
doivent nous interpeller.
Nous sommes à la croisée des chemins. En
effet, la liberté et le choix syndicaux sont en danger dans ce pays. 2017,
c’est demain et nous devons tout faire
pour que la CFTC reste présente sur la
scène syndicale et ne soit pas purgée comme le souhaitent certains. Ensuite, face
à un patronat démagogique voire populiste, nous devons rester fermes dans nos
convictions et que notre devoir est de
défendre la vie et dignité de tous les
salarié(e) s dans les entreprises quelles soient privées et publiques.
dimanche 3 mai 2015
50 ème Congrès UD CFTC 44
Les 28,29 et 30 avril derniers s'est tenu le 50 ème Congrès de l'Union Départementale CFTC de Loire-Atlantique . Nous avons au cours de ces trois jours célébré les 90 ans de la CFTC dans notre département ainsi que les 50 ans de la "CFTC maintenue" en présence de Pascale Coton , notre Secrétaire-Générale Confédérale.
A l'issue de ce Congrès, le conseil de l'Union Départementale CFTC m'a réélu pour un mandat de 4 ans en tant que Président.
vendredi 1 mai 2015
L'avenir du syndicalisme chrétien. Pascale Coton sur Radio Fidélité
Pascale Coton, secrétaire-générale de la CFTC, hier , lors de son passage à Nantes pour le 50 ème Congrès de l'Union Départementale CFTC de Loire-Atlantique, interrogée par Antony Torzec de Radio Fidélité: http://radiofidelite.fr/fr/quel-avenir-pour-le-syndicalisme-chretien/
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