jeudi 20 février 2014

Grève chez VEOLIA PROPRETE GRANDJOUAN SAINT-HERBLAIN soutenue par la CFTC

L'Union Départementale CFTC de Loire-Atlantique soutient dans leurs revendications les salariés de VEOLIA PROPRETE GRANDJOUAN de Saint-Herblain dans leur mouvement de grève. 

Je vous invite à lire avec attention leur déclaration suivante:

" En vue d'une contestation générale accrue , de la part de nos salariés de VEOLIA PROPRETE  GRANDJOUAN  agence de Nantes services aux collectivités à Saint-Herblain , les représentants syndicaux ont décidé de poser un préavis de grève déjà suivi depuis le 19/02/14 . 


Les revendications sont  les suivantes


  • Hausse des salaires : une meilleure rémunération de tous les salariés consistant à augmenter leur coefficient (de 100 à 104 pour les équipiers de collecte , de 104 à 107 pour les gardiens de déchetterie , de 110 à 114 pour les conducteurs , de 110 à 118 pour les conducteurs confirmés).
  • Une nette amélioration de la considération de l'ensemble des salariés ; depuis quelques mois , les opérateurs subissent une sévère répression de la part de la hiérarchie .  Dans les services de déchetterie , les employés exigent en plus des augmentations de salaires(coefficient),une prise en compte totale de leur sécurité (car insécurité omniprésente), du matériel adéquate pour travailler . 
  • Ré attribution de primes pour certains salariés , car certaines primes ont été supprimées à l'insu des salariés , mettant le feu au poudre à notre mouvement contestataire .



En vous remerciant par avance , de porter un œil à ce récapitulatif des événements , et restant à votre disposition pour toute autre information . Vous pouvez joindre pour avoir plus d'informations sur  le mouvement nos représentants CFTC :

Monsieur Perrais , représentant syndical CFTC au 06 15 23 81 34  et Monsieur Guittenit   délégué syndical  CFTC au  06 14 26 75 68. "



mercredi 12 février 2014

RENOUVELLEMENT DU PREAVIS DE GREVE ILLIMITE DES SAGES FEMMES !!!




Malgré les manifestations, les actions d’information, de visibilité misent en œuvre par le « Collectif des Sages-femmes », au nom des Sages-femmes de France, elles sont aujourd’hui encore, confrontées dans leur exercice professionnel au quotidien, à une non-reconnaissance de leurs responsabilités, à un statut qui ne correspondra jamais à la réalité de leurs fonctions.

C’est pour ces raisons, que les Sages-femmes exigent pour leur profession, de rejoindre le « statut » commun à l’ensemble des professions médicales, et de fait, l’accès au titre de « Praticien Hospitalier ».

Dans l’action depuis de longs mois, l’ensemble de la profession dénonce un manque de volonté politique et d’ambition de la part du gouvernement, pour une profession médicale incontournable, en matière de prise en charge des mères, des couples et de leurs enfants.

A ce jour, et malgré les travaux engagés, nous ne voyons pas de sortie, concernant cette situation préjudiciable pour tous.

En conséquence, la Fédération CFTC santé Sociaux renouvelle le préavis de grève illimitée, déposé par elle en octobre 2013. Ce renouvellement de préavis prend effet à compter du :

lundi 10 février 2014 à 20h00

Dépêche CFTC

La CFTC propose un dispositif d'allégement de cotisations s'inspirant de la réduction « Fillon » mais sans seuil salarial
  • Dossier 

La CFTC préconise « un dispositif s'inspirant des allégements dits 'réduction Fillon' qui consiste en une baisse des cotisations patronales de sécurité sociale [maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès] et des allocations familiales sur les salaires versés inférieurs à 1,6 fois le Smic ». Refusant la suppression des cotisations familiales envisagée dans le cadre du « pacte de responsabilité » proposé par le gouvernement et s'inscrivant dans la logique d'un allégement de 35 milliards d'euros des cotisations patronales, la confédération propose un « nouveau dispositif [qui] ne soit conditionné à aucun seuil », explique Philippe Louis, président de la CFTC, mardi 11 février 2014, à l'occasion d'une conférence de presse.

« Lisser les 35 milliards de suppression de cotisations sur l'ensemble des cotisations patronales dues au titre des assurances sociales [maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès] et des allocations familiales. » Telle est la proposition de la CFTC présentée mardi 11 février 2014, à l'occasion d'une conférence de presse. L'organisation refuse la suppression des cotisations « employeur » sur la famille, telle que proposée dans le « pacte de responsabilité », considérant que « les entreprises ont une responsabilité en matière de politique familiale avec les crèches, les congés maternité ou encore le logement », selon le président confédéral, Philippe Louis. 
 
Pour que « les entreprises puissent reconstituer leurs marges », l'organisation ne rejette pas l'idée d'une baisse de cotisations patronales à hauteur de 35 milliards d'euros, mais préconise un système de réduction de cotisations, inspiré des « allégements Fillon », mais sans conserver le seuil de 1,6 fois le Smic appliqué aujourd'hui aux rémunérations éligibles. « Contrairement à l'option de 'suppression totale de la cotisation Famille', cette autre approche du financement du pacte de responsabilité présente pour la CFTC l'avantage de la réversibilité. Le non-respect des engagements pris dans le cadre du pacte ou la non-efficacité du dispositif au regard des objectifs fixés [création d'emplois, investissements productifs et autres aspects qualitatifs de l'emploi] entraînerait ainsi sa disparition », explique l'organisation.
 
CONTREPARTIES
 
Sur les contreparties attendues des entreprises, Philippe Louis s'interroge sur l'absence de proposition d'une date par le patronat pour que les partenaires sociaux en discutent. Après le courrier du Premier ministre, « nous avons reçu un courrier de Pierre Gattaz [président du Medef], mais nous n'avons pas de date. Nous attendons une réaction de Jean-François Pilliard », chef de file patronal sur l'agenda social, explique Philippe Louis. De même, son homologue de la CFDT, Laurent Berger demande à ce que la réunion paritaire se tienne dès cette semaine. Quoi qu'il en soit, « il appartient aux négociateurs dans les entreprises et/ou dans les branches de contractualiser les contreparties », considère la CFTC.
 
L'organisation « privilégie une approche à la fois ciblée et différenciée de la définition des contreparties. Elle distingue la création d'emplois directs, de l'investissement productif qui conditionne plus indirectement le maintien et la création d'emploi sur le plus long terme ». La CFTC évoque aussi « les diverses composantes d'une compétitivité hors coût [formation, GPEC, RSE, dialogue social…]. « Favorable à un mix entre 'relance par l'offre' et 'relance par la demande', la CFTC veillera à ce que la redynamisation des négociations salariales figure parmi les contreparties ».
 
ASSURANCE CHÔMAGE
 
Liant la négociation en cours de la convention d'assurance chômage au « pacte de responsabilité », Philippe Louis insiste sur la nécessité de conserver le caractère « contracyclique » du régime. « Il faut que le régime soit capable de passer d'un cycle avec des déficits à un cycle plus favorable », affirme-t-il. S'il rappelle qu'à l'heure actuelle, « au prix auquel est l'argent, ce n'est pas un problème d'emprunter », le président de la CFTC souhaite que le régime puisse faire des provisions quand il est bénéficiaire pour être en mesure de mieux traverser des périodes déficitaires. Les deux dernières conventions d'assurance chômage prévoient à l'inverse des dispositifs de réductions automatiques des cotisations quand les finances du régimes s'améliorent durablement.
 
 Par ailleurs, dans cette même négociation dont une nouvelle séance est prévue jeudi 13, « nous sommes prêts à regarder les dysfonctionnements » de l'assurance chômage, affirme Philippe Louis évoquant des « effets d'aubaine » de l'activité réduite, la convergence des règles entre fins de CDD et fins de mission d'intérim ou encore l'élargissement de l'assiette de cotisations pour financer les régimes des intermittents du spectacle.



Moins, c'est mieux Arte 2013

Notre modèle économique est basé sur une consommation illimitée. Ceci n'est pas viable à long terme. Beaucoup d'experts pensent que nous devons changer notre façon de voir l'économie construite sur le progrès technique et une croissance débridée. Cela conduit à des déséquilibres sociaux majeurs dans notre société, écosystème . 
Les propos tenus n'engagent que leurs auteurs évidemment, mais il faut  savoir les écouter. 


lundi 10 février 2014